Solstice d’hiver 2022 – YULE : Ton bilan de fin d’année

Aujourd’hui, 21 décembre, la course du jour et de la nuit s’interrompt. Dans les cieux, tout se fige, et demeure quelques heures… Égalité entre le jour et la nuit. Mi-course entre l’obscurité et la lumière.

L’invitation est à la pause, et à l’intériorisation. L’hiver est une descente vers nos profondeurs. Mais avant de descendre… Demeure un instant sur le seuil. Déjà, tout ralentit depuis un bon mois maintenant. Nous avons sorti les gros pulls, allumé le chauffage plus fort, opté plus souvent pour des boissons chaudes. C’est sûr, l’été est loin maintenant.

Regarde en arrière quelques instants. Et, si l’élan est là, prends avec toi une feuille et un stylo. Je t’ai préparé une liste de questions à visiter en cette journée de solstice pour aller faire ton bilan annuel 2022. Poser des mots, sans trop chercher, ni réfléchir. Juste à l’instinct. Histoire de voir ce que raconte ton élan brut, ce qui dort « dans ton ventre » à l’issue de ces longs mois de 2022. Un bilan permet de :

  • Sentir dans quelle énergie on quitte un lieu, une étape;
  • Honorer ce qui a jalonné ce moment, en bien ou en douloureux;
  • Voir en filigrane ce que nos mots disent de nous (parce qu’aucun mot n’est anodin, jamais).
  • Percevoir nos forces et vulnérabilités du moment;
  • Pouvoir en tenir compte pour nous tourner vers la suite.

Lorsque tu seras prêt(e), réponds aux questions ci-dessous, idéalement en rédigeant tes réponses à l’écrit, pour pouvoir avoir à la fin une vue d’ensemble.

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Un regard sur les petites vies.

Je fais couler de l’eau brûlante dans mon mug. Dans le tiroir en-dessous, j’ai deux sortes de thés : l’un est une boîte de sachets de thé noirs d’une marque anglaise, l’autre est un bocal fait maison à base de graines torréfiées de grains de sarrasin, de graines de sésame et de riz long. J’écoute. Une fraction de seconde mon regard se tourne vers l’intérieur, vers l’intuition du corps. Je ressens le premier thé, et le second. Rien à signaler. Aucune préférence n’émerge. Mon corps, à cet instant, s’en fout. Parfois, il me renvoie une sensation de fermeture ici, une autre d’ouverture là… Je sais alors qu’il préfère nettement l’une des options. Petit moment ordinaire et silencieux de ma petite vie.

Je voulais écrire sur cela, les « petites vies » et vous partager un bout du cheminement que j’ai eu à faire aujourd’hui.

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La puissance de « n’être rien »: de la visibilité à l’invisibilité.

Petite discussion du réveil. Mon compagnon a un ancêtre, allemand d’origine. Le type, à une période, est venu se planquer en France. Changement de nom. Son prénom commençait par un L, et son nom par un T (lettres fictives). Tous ses enfants – et il en a eu un certain nombre – garçons et filles, se sont vu attribuer des prénoms commençant par L. Certains portaient même carrément une combinaison du prénom du père et un bout du nom de famille.

J’observais cette histoire, fascinée, en voyant ce que me montrait ma clairvoyance de tout ça : et ça clignotait sur deux thèmes. Le patriarcat, et la peur du vide.

Ce type, un homme, faisait partie des privilégiés de notre monde. Il a grandi dans un monde qui met l’homme en avant. La testostérone comme valeur fondamentale. Le « nom du père » comme valeur suprême. La réussite associée au masculin qui brille sur scène. Et quand il a fallu se cacher, s’exiler… Panique dans les coursives. L’impensable est remonté à la surface comme une bulle souterraine : moi ? Disparaître ? Mais je suis le ROI DU MONDE, bordel !

Saisie viscérale à l’idée de « n’être plus rien ». Comme si la génétique entrait dans un mouvement de panique : faut laisser une trace !!! Absolument ! N’importe quoi !!! Semer des spermatozoïdes, et surtout, surtout, une « signature » qui dise haut et fort « je ne suis pas mort », ni disparu, ni « rayé de la carte »…

On pourrait en rire. N’est-ce pas ?

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Quitter : mécanique du franchissement d’abîme.

On peut se raconter tout ce qu’on veut, cela ne change rien à la réalité : aujourd’hui est toujours un jour parfait pour quitter nos hiers. Ou a minima pour commencer le chemin.

Tant de choses dans nos vies sont obsolètes, mais demeurent sur nos étagères intérieures… Des relations qui ne tiennent plus qu’à un fil, des engagements associatifs ou sportifs qui ont déjà depuis longtemps perdu leur sens (quelle salle de gym ??), des objets témoins de notre passé qui encombrent dur nos étagères et qu’on n’arrive pas à virer. Galère.

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Quand l’enfant intérieur est une force de destruction massive : on fait quoi ?

Cette semaine, dans une gare, mon regard croise la manchette du Point, qui titrait en gros : « Afghanistan : Quand les hommes déclarent la guerre aux femmes. » Je me souviens avoir hoché la tête. Et ajouté en mon for intérieur : on peut retirer « Afghanistan » (genre ça n’arrive pas que dans des vilains pays !) parce que cette réalité, elle est mondiale. En tant que femme, et sentant finement les énergies collectives qui nous environnent, étant aussi capable d’aller « écouter les énergies » à distance en zoomant ici ou là, je ressens depuis longtemps cette triste réalité : énergétiquement, notre monde vibre « tuons les femmes ». Pas juste « canalisons-les », non… C’est beaucoup plus intense que cela dans notre énergie collective déviée. C’est en cela que l’humanité d’aujourd’hui est profondément suicidaire, en tous cas dans ses énergies « animales », non dégrossies, égotiques. Et ce sont encore elles qui dominent sur Terre à ce jour. (Qu’on ne vienne donc pas me parler de « réveil collectif » ou « d’éveil des consciences »… ça me fait juste penser à un bon gros déni par moments).

Quand je fais un zoom arrière sur cette thématique, je vois qu’elle émane d’une autre information collective, plus large : la destruction de tout. Nous sommes traversés par un courant destructeur tous azimuts énorme, omniprésent, et pas seulement chez quelques talibans délirants : regardez les pyromanes qui s’éclatent à allumer des feux ici, en Bretagne, dans les Monts d’Arrée (les enquêtes en cours conduisent toutes aux actes criminels… C’est consternant). Regardez encore, plus près de vous : voyez ces moments où vous traverse l’envie de « donner des coups de pelle » (aux voisins, à ces cons d’internautes, à vos gamins qui hurlent, à votre famille qui vous tanne…). Regardez bien. L’élan destructeur, il imbibe tout, partout. Pas seulement l’Afghanistan. Pas seulement des types habitant loin de chez vous. Le taliban dort en chacun de nous, en vrai.

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De murs et d’humanité

Quel est ton mur ?

Une amie me confiait un jour ces mots, que j’ai gardés en mémoire : « je suis une droguée, au fond. J’ai essayé depuis tant d’année du sevrage… Et toujours je reviens à toutes les drogues possibles. J’en suis à accepter que… c’est comme ça. J’en suis là. Et il est inutile de me vouloir autrement puisque ce n’est pas vrai. Et peut-être aussi que je ne serai jamais sevrée. Et que cela durera toute ma vie, cette addiction ».

Une autre de mes connaissances me disait être boulimique et avoir appris à ne plus se cacher avec cet aspect de sa vie. Elle vit avec la maladie. Elle la nomme. Elle ne veut plus s’en cacher. C’est un profond chemin d’acceptation pour, peut-être – ou peut-être jamais – voir un jour un changement se produire. Elle œuvre dans les 2 directions : accepter et cheminer pour en sortir, aussi, selon ce qui sera possible.

Des vies comme ça, j’en vois tous les jours, à la pelle. La mienne avec. Nous avons tous dans notre for intérieur un mur majeur, qui vient bloquer notre avancée, encore et encore. Une contrainte clé. Un indépassable plus fort que nous.

Ici c’est une violence familiale tellement forte qu’elle ressurgit encore, involontairement, dans le quotidien, malgré des tentatives pour « n’être pas comme ça ». Là c’est un faux soi construit depuis des années qui se casse la gueule et nous plonge dans ce que nous évitions le plus, de toutes nos forces : la sensation d’un échec total, absolu, d’un foirage colossal dans notre vie.

Et l’acceptation vient comme un baume, quand elle n’est pas fausse ou conditionnée à un changement. Elle nous dépose enfin sur un sol stable, concret : on est là, comme on est, humain imparfait, luttant avec nos misères personnelles, et … C’est comme ça. Et peut-être que cela sera ainsi jusqu’au bout. Ou pas. Mais nous avons besoin d’oser accepter en face cette évidence : lâcheté, violence, maladies honteuses, addictions, toutes ces bassesses de l’humain font notre lot quotidien sur le chemin. Voulons-nous essayer de devenir une espèce « d’être humain parfait » (regardez autour de vous, cela n’existe pas !) en continuant de nous redire chaque jour notre désamour pour nous-même ? Voulons-nous poursuivre cet aveu de rejet encore et encore ? Ou voulons-nous commencer à nous inclure dans notre totalité, ombre et lumière et ce faisant commencer à connecter avec une paix profonde dont nous avions même oublié l’existence ?

Le paradoxe de cette paix profonde c’est qu’elle repose, qu’elle s’enracine complètement dans vos soi-disant défauts : votre violence, votre haine irrépressible, votre addiction sont un terreau pour que fleurisse une paix intérieure puissante et calmante. Oui, c’est le prix à payer : s’accepter dans ses failles permet de cheminer enfin paisible. Mais imparfait. Vous serez ainsi un humain bien avec lui-même mais… juste lui-même. Pas un truc en plus, idéal ou retravaillé artificiellement. Vous serez vous-même, avec vos courbures de vie, vos manques, vos impossibilités, vos incapacités, vos refus persistants, votre laideur, vos handicaps, vos trucs honteux qui se maintiennent quoi que vous fassiez… Oui, vous serez cela, et pour l’avoir accepté, vraiment, pour avoir dit OUI, vous serez simultanément « en paix ». Quelle étrangeté que cette vie si simple dont on ne nous parle jamais !

Les romans et le cinéma nous mentent continuellement. Comme Instagram et les réseaux sociaux. Tout cela c’est de la scène, du faux en barre, de l’idéal imaginaire et donc de l’inatteignable. Cela creuse le fossé avec nous-même dans notre putain de vérité toute nue. Quand on renonce à essayer d’être ce que les standards publics idéalisés nous proposent, quand on se barre de ces idées fausses, alors on craint d’être tout seul… Mais c’est oublier un peu vite que TOUS LES AUTRES sont à la même enseigne ! En réalité, en devenant vrai, en cessant de vous martyriser, vous renouez avec tous les autres dans leur propre vérité aussi. Le premier qui se lève dans sa vérité telle qu’elle est, devient une invitation pour tous ceux qui l’entourent à oser faire pareil. Voilà la vie dans toute sa simplicité. Nous cheminons ensemble. Nous nous leurrons tous ensemble mais nous pouvons aussi redevenir juste des humains faillibles et merdiques tous ensemble. Et y trouver une grande paix. Avec soi. Avec le monde. Avec la vie.

Que voulons-nous ?

Gaëlle


Praticienne en médecines douces, je travaille en soins énergétiques holistiques à distance (pour les personnes, les animaux, et les lieux).

Retrouvez-moi sur mon blog « Fortifiez vos ailes », et sur mon site professionnel : http://www.gaelleberny-magnetisme.com/

(photo d’article : Pinterest)

Quand le client confond magnétiseur / kinésiologue et voyant…

Bonjour à tous !

Depuis les premiers temps de mon installation dans ce métier, je crois, en 2009, je suis confrontée assez régulièrement à cette réalité : il y a des gens qui cherchent chez les thérapeutes de médecines douces des réponses qui relèvent de la voyance. C’est un fait troublant à observer, et avec lequel il convient de composer.

Nous sommes tous pris dans nos blessures diverses et variées. La psychologie fait éminemment partie de ces métiers du soin, tant le levier de compréhension de nos fonctionnements amène souvent vers des états de guérison ou de mieux-être conséquents. Savoir comment nous fonctionnons est important, pour que nous récupérions notre pouvoir sur notre vécu quotidien…

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Et toi, connais-tu ton mode survie en environnement conflictuel ?

Bonjour à tous !

Nouvel article, aujourd’hui. Je sais, cela fait bien longtemps… Mais je compose avec la période, voyez-vous. Je suis mon élan intérieur, qui, dans ce contexte de plus en plus houleux et ensauvagé, dans les échanges entre les gens, me pousse à simplement… me taire. Pour observer. Ressentir le monde. Et patienter jusqu’à mon prochain élan pour parler.

Je ne suis pas étonnée qu’en période de confusion collective, ma parole se fasse spontanément plus rare. A quoi bon rajouter du bruit au bruit ?

Mais ce soir, un rai de lumière filtre. Envie de vous poser une simple question : que savez-vous de vous, de votre « mode de survie », dans un contexte où les autres se battent entre eux autour de vous ?

Cette question a son importance, actuellement. Nous avons tous besoin, cruellement, diablement besoin de nous connaître mieux sur ce point. Faute de quoi nous serons les jouets de cette étrange période… Comme nombre de nos concitoyens actuellement.

En clientèle, je passe mes journées à dialoguer avec les gens de ces endroits en eux, où la « guerre des autres » a laissé des traces. Où l’atmosphère de « pugilat ambiant permanent » réactive nos réactions d’enfant. Et vous, donc, comment ça réagit en vous quand d’autres se battent autour de vous, ou devant vous, avec le risque qu’ils vous prennent à témoin et vous embarquent dans leur guerre ? De quoi vous souvenez-vous ?

Généralement, trois options de survie s’offraient à nous enfant : fuite, lutte, ou inhibition.

  • La fuite, c’est une évasion. Corporelle (je deviens ermite au bout du monde !), ou mentale (je m’évade dans ma tête), voire émotionnelle (je coupe mes affects et m’anesthésie de toutes ces sensations emmerdantes.)
  • La lutte c’est un mouvement de réponse mu par la colère généralement, pour prendre en charge le conflit et faire cesser les coups. Cela donne des comportements personnifiés par « le résistant » (très en vogue actuellement), le « combattant » (il lui faut un ennemi à abattre, il vient d’en trouver plusieurs !)… L’énergie émotionnelle est chaude, voire bouillante. Notre force musculaire est propulsée. On peut traduire cela par un engagement physique (coups de pelle à gauche et à droite), mental (sur-investissement de la sphère du langage pour polémiquer, argumenter, et débattre avec tout le monde, indéfiniment, en paumant allègrement nos énergies dans ces méandres sans fin…) ou émotionnel (crises éruptives diverses : colères, larmes, etc.)
  • L’inhibition, c’est l’inertie. La tétanie face au conflit. On n’a plus de jambes et il ne nous reste plus qu’à disparaître. Ou, comme me le disait une cliente « faire le caillou ». Bref : figé, notre corps se raidit et perd toute capacité de mouvement. On peut en devenir muet, mutique (incapable de verbaliser, idées confuses, mental en rade), ou engourdi dans nos émotions, et physiquement mou, voire douloureusement raide, selon les cas (généralement un mélange des deux).

Situer votre mode de survie dans un environnement de conflit quasi généralisé (on sort des fêtes de fin d’année où nombre de familles s’engueulent pour tout et n’importe quoi depuis des décennies… faut pas parler politique avec mamie, on vous a dit !) et on entame l’année avec un Président qui affiche ouvertement, soutenu par une large majorité de français désormais, son envie d’aller « chercher les antivax ». Peu importe votre camp, ce que vous avez devant les yeux, s’appelle une zone de conflits. Il est à la fois inutile de la dramatiser (cela fait partie de notre temps, et ne va pas aller en s’arrangeant avec l’effondrement climatique et économique en cours…) et à la fois, il est temps de conscientiser comment cette période vous « active », vous, personnellement. De quelle façon êtes-vous le jouet de cette période ? Comment ces conflits ambiants viennent vous chatouiller ? Qu’est-ce qui se dit de votre histoire dans « ces moments-là » ? Entrez-vous en mode combat / résistance ? Devenez-vous muet, absent, flippé, retiré ? Ou encore vous évadez-vous loin de tout ce bruit et de toute cette agitation ?

Apprenez à vous connaître, car ces mécanismes vous mèneront, sinon, par le bout du nez.

Pour ensuite apaiser, et rectifier votre équilibre interne, je vous suggère d’utiliser les protocoles de mon dernier livre « gérez votre ego sainement », histoire de calmer le jeu, de débrancher les doigts dans la prise mémorielle, de vous ressaisir aussi, humainement, en activant des modes de réponses plus opportuns, peut-être, et en tous cas « plus adultes » dans le sens « moins réactionnels ».

Prenez soin de vous, infiniment.

With love,

Gaëlle


Praticienne en médecines douces, je travaille en soins énergétiques holistiques à distance (pour les personnes, les animaux, et les lieux).

Retrouvez-moi sur mon blog « Fortifiez vos ailes », et sur mon site professionnel : http://www.gaelleberny-magnetisme.com/

(photo d’article : Pinterest)

Dans la chaleur de la nuit – échappée sensuelle

sensualiteLa lumière crue des phares révéla un virage en épingle, avant de le laisser choir dans l’obscurité dense. Ses doigts pianotaient sur le volant, tandis que son esprit courait la lande. Tout en elle habitait déjà les instants fiévreux à venir. Quelques virages encore, franchir la crête sous la voûte tranquille d’une nuit d’été, puis plonger, en douceur, vers les sentiers en contrebas. Aucune pollution lumineuse. La voie lactée touchant délicatement l’onde pâle d’une eau sereine. Un lac de montagne. Apercevant un feu crépitant sur la rive, elle gara sa voiture, gardant quelques distances, mue par une ultime pudeur. Ce rendez-vous secret palpitait en elle depuis le premier kilomètre. Avançant lentement sur l’herbe douce, respirant la nuit lovée contre les alpages, elle laissait maintenant son corps combler l’écart, entre l’anticipation et la survenue de l’anticipé. Une silhouette masculine, assise au bord du feu, tendue vers le lac, lui tournait le dos. Encore un peu. Déjà, elle sentait sa peau se réveiller. Déjà ses doigts couraient tous seuls vers un invisible texte en braille. L’eau à la bouche, aussi, et le clapotis tendre du lac aux côtés des grillons. Tout ce feu inondant ses veines…

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Adversités.

Ce blog s’est formé ce matin, à mesure que j’effectuais mes trois rendez-vous clients de la matinée. Une chose m’a sauté aux yeux. Je n’en parle jamais sur ce blog, parce que j’ai appris au fil des années de pratique à taire bien des aspects de mon travail de magnétiseur. Surtout ceux qui génèrent de la peur ou de l’inquiétude. A quoi bon… Autant faire ce qu’il y a à faire, et rendre le geste au silence. L’apaisement fait le reste, ensuite. Et l’esprit est souvent bien moins troublé de ne pas savoir.

Pourtant, cette fois, j’ai senti l’élan pour évoquer ici un des aspects cachés du monde énergétique qui dort en chacun de nous. Parce que parfois, ce truc nous fait prendre les pieds dans le tapis. Et je suis obligée, en clientèle, de rétablir la vision juste de mon client, en lui expliquant les sous-jacents.

Mais je ne vais pas tourner autour du pot plus longtemps. Venez avec moi : on va se faire une petite plongée douce dans les coursives de votre histoire vibratoire.

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