Bonjour à tous !
Aujourd’hui, je voulais vous parler de l’importance du recalibrage fréquentiel. Sauf que, si je vous le dis comme ça, c’est sûr, je vais perdre la moitié de l’auditoire en moins de deux. C’est comme quand il neige dehors : une transition bien gérée entre dedans et dehors consiste à mettre tes bottes de neige pour éviter de sortir en pantoufles (demande au chat). Donc, je vous propose de passer par la case bottes de neige, comme ça, nous pourrons causer le même langage et déambuler gaiement dans la neige (bon, en même temps, c’est la seule image qui me vient à 4 heures du matin… faudra faire avec).
Plus sérieusement donc, aujourd’hui je voudrais évoquer comment tout processus thérapeutique bien mené passe systématiquement par la case « recalibrage fréquentiel » et comment, à l’inverse, le travail en recalibrage fréquentiel seul permet d’aller mieux au fil du temps sans forcément avoir identifié toutes les « causalités sous-jacentes », qu’elles soient freudiennes, jungiennes, de « vies antérieures », générationnelles, ou que sais-je encore.
Pour le dire encore plus trivialement : je suis une adepte du « l’essentiel c’est d’aller mieux, le pourquoi on s’en fout ». Presque toujours. Soit, à plus de 95% des cas selon le constat que je pose après plusieurs années de collaboration avec les intelligences de la Nature. Ce qui fait donc un potentiel de relâchement de notre petit mental obsessionnel – qui veut souvent tout savoir – d’environ 95%… Vous imaginez la libération pour nos esprits échauffés !
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