Magnétiseur et kinésiologue : 15 ans cette année !

Bonjour à tous et toutes !

2024 est une année un peu particulière : cela fait 15 ans que j’exerce le même métier et je n’ai jamais tenu aussi longtemps dans une même profession ! Quel parcours !

Je profite de cet article pour faire un peu le point, et je vous invite avec moi.

Au fil des années, j’ai reçu pas mal de confrères et consœurs, eux aussi dans les médecines alternatives, et souvent nous avons parlé finances. Je suis l’une des rares personnes que je connaisse dans ce type de métier qui vit bien de ce métier et qui a eu l’opportunité de me développer dans la durée, en voyant mon activité croître et se fortifier doucement.

Aujourd’hui, je me contente de préserver mon existant, et de me faire un tout petit peu connaître ici ou là, mais désormais, j’ai une base de clientèle qui me permet de travailler 6 jours sur 7, plus ou moins toute l’année. Et je me donne la possibilité depuis quelques mois de poser des jours « off » pour m’aérer, et prendre plus franchement le temps.

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Epuisement, fatigue et incapacité à se poser : ce que mes soins peuvent pour vous.

Bonjour à tous !

Aujourd’hui j’avais envie d’évoquer ici les bienfaits de mes séances sur le sujet de l’épuisement, et/ou de la tension physique qui empêche le repos. Je reçois beaucoup de personnes de tous âges qui peuvent être concernées par ce problème, qui occasionne fatigue générale, physique et psychique, sommeil défaillant, tension musculaire et douleurs posturales diverses, parfois hyperactivité (avec impossibilité de pouvoir se poser vraiment)… C’est semble-t-il un mal de notre temps. Voici comment je travaille ces sujets avec le magnétisme, sachant que ces soins donnent de bons résultats, souvent étonnants, pour des gens de tous âges : jeunes mamans, seniors, actifs épuisés, j’ai vu de nombreuses personnes voir leur corps répondre enfin vers la détente et retrouver le sourire !

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Solstice d’hiver 2022 – YULE : Ton bilan de fin d’année

Aujourd’hui, 21 décembre, la course du jour et de la nuit s’interrompt. Dans les cieux, tout se fige, et demeure quelques heures… Égalité entre le jour et la nuit. Mi-course entre l’obscurité et la lumière.

L’invitation est à la pause, et à l’intériorisation. L’hiver est une descente vers nos profondeurs. Mais avant de descendre… Demeure un instant sur le seuil. Déjà, tout ralentit depuis un bon mois maintenant. Nous avons sorti les gros pulls, allumé le chauffage plus fort, opté plus souvent pour des boissons chaudes. C’est sûr, l’été est loin maintenant.

Regarde en arrière quelques instants. Et, si l’élan est là, prends avec toi une feuille et un stylo. Je t’ai préparé une liste de questions à visiter en cette journée de solstice pour aller faire ton bilan annuel 2022. Poser des mots, sans trop chercher, ni réfléchir. Juste à l’instinct. Histoire de voir ce que raconte ton élan brut, ce qui dort « dans ton ventre » à l’issue de ces longs mois de 2022. Un bilan permet de :

  • Sentir dans quelle énergie on quitte un lieu, une étape;
  • Honorer ce qui a jalonné ce moment, en bien ou en douloureux;
  • Voir en filigrane ce que nos mots disent de nous (parce qu’aucun mot n’est anodin, jamais).
  • Percevoir nos forces et vulnérabilités du moment;
  • Pouvoir en tenir compte pour nous tourner vers la suite.

Lorsque tu seras prêt(e), réponds aux questions ci-dessous, idéalement en rédigeant tes réponses à l’écrit, pour pouvoir avoir à la fin une vue d’ensemble.

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Un regard sur les petites vies.

Je fais couler de l’eau brûlante dans mon mug. Dans le tiroir en-dessous, j’ai deux sortes de thés : l’un est une boîte de sachets de thé noirs d’une marque anglaise, l’autre est un bocal fait maison à base de graines torréfiées de grains de sarrasin, de graines de sésame et de riz long. J’écoute. Une fraction de seconde mon regard se tourne vers l’intérieur, vers l’intuition du corps. Je ressens le premier thé, et le second. Rien à signaler. Aucune préférence n’émerge. Mon corps, à cet instant, s’en fout. Parfois, il me renvoie une sensation de fermeture ici, une autre d’ouverture là… Je sais alors qu’il préfère nettement l’une des options. Petit moment ordinaire et silencieux de ma petite vie.

Je voulais écrire sur cela, les « petites vies » et vous partager un bout du cheminement que j’ai eu à faire aujourd’hui.

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Traverser le pont : peurs et résistances

Bonjour à tous !

Je vois beaucoup de gens, en clientèle, qui se tiennent au bord d’un changement important pour eux mais… n’y vont pas. Ce changement très concret dans le quotidien de la personne, a une correspondance dans l’énergie, toujours. Et lorsque j’écoute attentivement, les gens me parlent de « tourner en rond », de « frustration forte », du sentiment de ne « pas avancer », de « stagner », qu’il leur manque un élément quelque part pour décanter une situation, etc.

Mon travail, en tant qu’architecte des structures invisibles en vous, sera de traverser le pont devant lequel vous vous tenez, pour aller « jeter un coup d’œil ». Je serai alors capable de repérer ce qui, instinctivement, vous fait hésiter, vous fait peur. En général, nos actions ont un impact sur les différents plans de notre système vibratoire : vous croyez que vous aller « seulement déménager » ? Oh que non ! Votre santé peut se déséquilibrer juste derrière, car des mémoires vont se réveiller… Votre psychisme peut brutalement revivre une zone émotionnelle, ou traumatique, par effet d’écho… Et tout ça, ben vous n’en voulez pas. Mais vous ne savez pas comment faire.

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La puissance de « n’être rien »: de la visibilité à l’invisibilité.

Petite discussion du réveil. Mon compagnon a un ancêtre, allemand d’origine. Le type, à une période, est venu se planquer en France. Changement de nom. Son prénom commençait par un L, et son nom par un T (lettres fictives). Tous ses enfants – et il en a eu un certain nombre – garçons et filles, se sont vu attribuer des prénoms commençant par L. Certains portaient même carrément une combinaison du prénom du père et un bout du nom de famille.

J’observais cette histoire, fascinée, en voyant ce que me montrait ma clairvoyance de tout ça : et ça clignotait sur deux thèmes. Le patriarcat, et la peur du vide.

Ce type, un homme, faisait partie des privilégiés de notre monde. Il a grandi dans un monde qui met l’homme en avant. La testostérone comme valeur fondamentale. Le « nom du père » comme valeur suprême. La réussite associée au masculin qui brille sur scène. Et quand il a fallu se cacher, s’exiler… Panique dans les coursives. L’impensable est remonté à la surface comme une bulle souterraine : moi ? Disparaître ? Mais je suis le ROI DU MONDE, bordel !

Saisie viscérale à l’idée de « n’être plus rien ». Comme si la génétique entrait dans un mouvement de panique : faut laisser une trace !!! Absolument ! N’importe quoi !!! Semer des spermatozoïdes, et surtout, surtout, une « signature » qui dise haut et fort « je ne suis pas mort », ni disparu, ni « rayé de la carte »…

On pourrait en rire. N’est-ce pas ?

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Quitter : mécanique du franchissement d’abîme.

On peut se raconter tout ce qu’on veut, cela ne change rien à la réalité : aujourd’hui est toujours un jour parfait pour quitter nos hiers. Ou a minima pour commencer le chemin.

Tant de choses dans nos vies sont obsolètes, mais demeurent sur nos étagères intérieures… Des relations qui ne tiennent plus qu’à un fil, des engagements associatifs ou sportifs qui ont déjà depuis longtemps perdu leur sens (quelle salle de gym ??), des objets témoins de notre passé qui encombrent dur nos étagères et qu’on n’arrive pas à virer. Galère.

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Cheminer pour mourir : de l’importance d’inclure la mort pour être pleinement vivants.

Ces derniers temps, je vois apparaître dans mon paysage de thérapeute un truc comme ça : la mort, je suis là pour ça, aussi. Étrangement, j’ai eu une vie qui m’a préparée à ça. A tout lâcher. Souvent. A laisser partir. Des gens, des attaches, des lieux, des jobs, des certitudes… Tout est y passé. Avoir tout perdu, c’était mon chemin. Et j’ai tout gagné, en un sens, car désormais, j’ai constaté que je n’ai plus à faire de deuil : c’est une étape qui s’évapore d’elle-même dans une profonde sensation de continuité de la vie… Mourir ? Déjà fait et vécu mille fois, intérieurement. Et cela reviendra encore, jusqu’au dernier moment. Fatalement. Jamais pareil, vraiment. Chaque nouvelle fois demandant une honnêteté sans faille. Je connais ce que ça fait de lâcher des bouts de soi auxquels on tenait mordicus, même quand ce sont des constructions qui nous pourrissaient la vie.

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